Le 4 octobre 2021 était la journée internationale pour bien-être animal. A cette occasion, j’ai organisé avec ma collègue conseillère communale à Berchem et vétérinaire Laure de Leener notre première journée de l’Animal en Ville à Woluwe-Saint-Pierre. L’évènement était évidemment gratuit. Vous êtes plus de 300 à être venus… merci !
Une journée d’échanges autour de nos amis à poils, à écailles ou à plumes !
C’est au rythme d’un programme varié, que j’ai ouvert entre autre avec ma conférence « Osons les poules en ville ! », que nous avons eu le plaisir d’accueillir notre public de 11h à 18h. D’autres conférences ont suivi et plusieurs ateliers vous attendaient également : gravure de médaille, nombreux stands pour chiens et chats, canicross pour les plus sportifs et le clou du spectacle: la démonstration de la brigade canine.
Nous avons voulu pendant cette journée mettre en avant les acteurs de terrain et les professionnels – refuges, vétérinaires, spécialistes de la faune sauvage, … – afin d’avoir de véritables échanges sur les multiples facettes de l’animal en ville. Je me réjouis de la variété des sujets qui ont été proposés, des conférences sur nos animaux domestiques favoris ( Éduquer son chien en famille, mieux comprendre son chat, médecine douce pour nos animaux… ) mais aussi sur la faune sauvage. Cette journée fut aussi l’occasion de rencontrer et d’échanger avec notre ministre régional en charge du bien-être animal, Bernard Clerfayt.
Une volonté d’améliorer le lien Homme/animal inscrite dans un projet plus global d’avancée sur le bien-être animal
Cette initiative s’inscrit dans la volonté de promouvoir et valoriser le lien positif entre l’humain et l’animal, essentiel en ville. Son importance a d’ailleurs été exacerbée par la crise actuelle du COVID. Des études ont effectivement montré que ce lien est un vecteur d’apaisement, de tranquillité mais aussi un catalyseur pour la concentration et la communication sociale.
Plus globalement, le bien-être animal est une question essentielle pour moi, comme pour mon parti. Je me réjouis d’ailleurs de constater l’importance qu’il suscite aujourd’hui dans notre société et je continuerai à œuvrer pour une meilleure prise en compte de cette thématique au sein de notre région bruxelloise.
